Cosi fan tutte, Opéra de Saint Etienne, Olyrix
« D’une voix souple et ample, Élodie Hache conduit ses lignes vocales avec aisance et vocalise avec légèreté. »
Le Progrès
« Élodie Hache est toute dans la nuance, un vrai bonheur. »
Hérodiade, Opéra de Saint Etienne, Forumopera
« Elodie Hache s’impose sans difficulté en Salomé, avec des réserves de souffle apparemment inépuisables et une puissance impressionnante.
Concert classic.com
« Au sein d’une distribution de haut niveau se détache l’exceptionnelle Salomé d’Elodie Hache, d’une suggestive puissance d’incarnation tant par sa présence incandescente que par la vaillance de son chant
Les Huguenots, Opéra de Paris, Opérablog
« On signalera aussi Elodie Hache, excellente dans plusieurs interventions mineures »
Trovatore, Opéra de Paris, Resmusica
« On se délecte en revanche de la très jolie présence et de la clarté de l’Ines d’Élodie Hache »
Dialogues des Carmélites, Opera de Saint Etienne, Olyrix
« Lors de la production de La Vie Parisienne in loco en janvier, nous avions exprimé notre curiosité à l’endroit d’Élodie Hache, qui interprète ici le rôle de Blanche et permet au public d’admirer son talent sur un rôle conséquent. Si la voix semble fluette et retenue lors des premières scènes, incarnant un personnage timide et réservé, elle affiche plus tard sa puissance lorsqu’elle déploie ses médiums. Ses aigus sont tranchants et percent l’espace du théâtre. Durant l’entretien avec son frère, sa paix intérieure et sa confiance affichée apparaissent dans le vibrato paisible qui soutient la voix éclatante de la révolte contre les doutes qui la submergent parfois. »
Forum opera
« Avec une justesse de ton et une apparente simplicité qui sont la marque d’un travail intense et abouti, Élodie Hache est une Blanche de la Force aussi émouvante que convaincante, dans son angoisse comme dans ses élans de ferveur, dans sa volonté de maîtrise de soi comme dans son lyrisme passionné. »
La vie parisienne, Opera de Saint-Etienne, le Progrès
« Et sur scène, les jeunes chanteurs ont apporté toute leur fougue, en particulier Guillaume Andrieux (Gardefeu) et Élodie Hache, (la baronne de Gondremarck). Quelle réussite ! »
Nabucco, Opéra de Saint-Etienne, La lettre du musicien
« Il n’est pas jusqu’au très modeste rôle d’Anna, confié à Elodie Hache, qui ne retienne notre attention, tant cette jeune soprano semble quasiment du luxe pour le rôle. »
Forum opera
« Commençons par la soprano Elodie Hache, découverte successivement dans les rôles de Vitellia (La Clémence de Titus, 2015) et Anna (Nabucco, 2016) à l’Opéra de Saint-Etienne. Prudente et éclairée dans la conduite de sa carrière, cette ancienne pensionnaire de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Paris n’en est pas moins déterminée et farouchement impliquée en scène. Son émission vocale puissante et directe, son intelligence des nuances comme son engagement scénique la destinent incontestablement à des rôles de caractère. Pour l’heure, une Blanche de la Force est prévue pour mars 2017 à l’Opéra de Saint-Etienne (Dialogues des carmélites). Mais l’étendue de sa palette vocale lui permet d’envisager aussi bien Semiramide, dont elle possède la vaillance, ou Violetta (La Traviata), que Chimène (Le Cid) et son sublime « Pleurez mes yeux ». »
Armide (Lully), INNSBRUCKER FESTWOCHEN DER ALTEN MUSIK, teatro.it
« La figura di Armide, sviluppata da Quinault con sottile penetrazione psicologica, era affidata alla brava Elodie Hache, abilissima nell’articolazione nella parola, e la cui voce duttile e luminosa ha conferito bei colori, grande varietà d’accenti e buon spessore drammaturgico al suo complesso personaggio: squisita in «Un songe affreux», commovente nel tumulto intimo di «Ah, si la liberté», travolgente nella celebre air «Enfin, il est en ma puissance.»
Gilberto Mion
« Und Elodie Hache weiß diese emotionale Berg- und Talfahrt Armides stimmlich wie darstellerisch wunderbar überzeugend umzusetzen »
« Le rôle-titre est magnifiquement tenu par la Francaise Elodie Hache, qui excelle dans l´art de la rhétorique et de la déclamation, des qualités essentielles à la réussite d´un opéra baroque. La jeune soprano se voit ici confier un de ses premiers grands rôles, et sa prestation est glorieuse, puissante et animée tant sur le plan vocal que sur le plan théâtral, avec de remarquables moments de fureur baroque. »
Luc Roger
« Sopranistin Elodie Hache verkörpert Zauberin Armide, die sich in ihren Erzfeind, Kreuzritter Renaud, verliebt, welcher sie schlussendlich zugunsten höherer Aufgaben (die Kollegen Ritter rufen) verlässt. Hache singt das als Spagat zwischen zart-schönem Sehnen und bitterer, vokal durchaus kerniger Verzweiflung. »
Jörn Florian Fuchs
« Elodie Hache mit gar nicht vibratolosem Klang eine zuletzt vor Unglück rasende Armide. Rein sängerisch müsste diese dem unsicher intonierenden Renaud von João Pedro Cabral nicht allzu sehr nachtrauern. »
Walter Weidringer
La Clemenza di Tito, Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, forum opera
« Élodie Hache campe avec talent une Vitellia impressionnante, toute vibrante de rage, magistrale dès le premier récitatif, avant de briller dans l’air « Deh, se piacer mi vuoi », et maintenant jusqu’à la fin – pour le rondo « Non più di fiori » – la qualité de son chant. »
Fabrice Malkani
Opéra Magazine, n° 105
« Elodie Hache prouve qu’elle est bien l’un des grands espoirs du chant français. La voix de la soprano, superbement timbrée, est d’une totale facilité dans l’aigu, et son incroyable présence scénique, comme sa belle maîtrise des récitatifs, en font déjà une grande Vitellia. »
Alfred Caron
27° édition du Concours International de chant Città di Alcamo vince il soprano francese Elodie Hache
di Sara Patera
« ALCAMO. Il concorso internazionale per cantanti lirici «Città di Alcamo» alla sua 27ª edizione. Vincitrice per «musicalità, importante vocalità, presenza scenica», nel giudizio della giuria tecnica presieduta da Alice Terrell Cuberli, il soprano francese Elodie Hache ha ottenuto anche il premio speciale della critica
A sottolinearne le qualità, «vocalità omogenea in tutti i registri, intensità del fraseggio, temperamento interpretativo », la commissione della critica coordinata da Aldo Mattina. E all’ascolto, al concerto dei finalisti al Teatro Cielo d’Alcamo, la singolarità del timbro vocale e l’intensità espressiva della Hache in Pleurez mes yeux da Le Cid di Massenet, poi impegnata nel verdiano Pace, pace mio Dio, hanno confermato al vivo quanto emerso durante le prove. A lei il premio di 3000 euro offerto dalla Conad. »